À l’approche de la fin d’année, nombreux sont les épargnants qui s’interrogent : dois-je investir dans les marchés financiers, l’immobilier… ou patienter ?
Dans un contexte post-BCE, entre opportunités de rendement et dispositifs fiscaux à échéance, l’action avant 2026 peut faire la différence.
Voici les points clés à considérer pour faire un choix éclairé.
1. Immobilier : un timing à deux visages
- Taux de crédit toujours élevés mais tendance à la stabilisation.
- Prix en recul dans certaines zones = opportunités à saisir.
- Défiscalisation (LMNP, Denormandie) : certains dispositifs arrivent à échéance ou changent de cadre dès 2026.
C’est peut-être le bon moment d’entrer, à condition d’avoir un projet solide, bien financé, et un horizon de détention long.
2. Finance : regain d’intérêt post-BCE
- Assurance-vie, compte-titres, contrats de capitalisation : des enveloppes encore attractives.
- Les baisses progressives des taux directeurs de la BCE redonnent de la vigueur aux marchés actions et aux fonds obligataires.
- L’investissement progressif (DCA) reste une stratégie pertinente pour lisser les risques d’entrée.
Pour les profils plus mobiles ou les projets à moyen terme, la finance offre flexibilité, diversification et fiscalité avantageuse.
3. Objectif 2026 : agissez en 2025
Les meilleurs choix d’investissement ne se prennent pas en urgence en décembre.
Ils se préparent maintenant pour profiter :
- des bonnes fenêtres de marché,
- des enveloppes fiscales encore disponibles,
- et d’un conseil patrimonial adapté à votre profil.
Conclusion :
Immobilier ou finance ? Il n’y a pas de réponse unique.
Mais il y a un point commun à toutes les bonnes décisions : elles sont prises avant la fin de l’année, avec clarté et méthode.
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